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Je suis Cécile, étudiante en 3e année à l’École Supérieure d'Art de Lorraine à Épinal. Ici vous pourrez trouver mes projets d’étudiante.

dimanche 14 décembre 2014

Encore 10 jours

  (je viens de me rendre compte que j'étais une patate et que je comptais les jours jusqu'au 25... ^^')


14 Décembre

LAURIANNE


 ***

  D'ailleurs, je vais profiter de cet article pour faire un petit commentaire du Chant de la mer, que j'ai été voir hier aprèm' !!



  C'est donc l'histoire de Ben et Maïna, sa petite sœur qui vivent sur un ilot dans un phare avec leur père. Leur mère à disparu à la naissance de Maïna, et, bien qu'il ne s'en rende pas compte, Ben, lui en veux pour ça. Pour une raison inconnue, la petite fille est muette.
  Or le soir de ses 6 ans, elle découvre qu'elle est en fait une Selkie, une créature magique qui peut se transformer en phoque, et qui en chantant à le pouvoir de délivrer le petit peuple alors menacé par une sorcière qui les change en pierre en leur volant leurs émotions...

  Réalisé par Tomm Moore, à qui on doit le superbe Brendan et le secret de Kells, il était assez évident que visuellement, ce film allait être superbe ! Et coté décors, on est servis, entre les textures aquarelle et la perspective malmenée, on est encore dans cette esthétique moyenâgeuse qui faisait de charme de Brendan, toute fois, qu'une certaine manière (peut-être était ce lié au grand écran) cette recherche m'a semblé par moment moins radicalisé dans les personnages, qui semblaient un peu "désynchronisés" visuellement, peut-être que c'était juste une question cohérence temporelle, le chant de la mer, contrairement à Brendan se déroulant dans le présent. Mais, finalement ça ne gène pas tant que ça et la séquence finale nous en met plein la vue !

  Coté scénario, il y a beaucoup de choses qui passent en même temps (peut-être même trop) : l'évolution de la relation entre Ben et Maïna, Ben qui doit affronter ses peurs, l’élucidation de la disparition de la mer, la problématique de la sorcière et la question du bienfondé des émotions même douloureuses, le deuil du père... Et bien que ces questions soient bien traitées, je me demande si quelques minutes en plus de film pour approfondir certaines choses n’auraient pas été de trop...
  Mais je tiens à signaler que l'évolution des rapports fraternels me semble bien plus juste que dans un certain film oscarisé l'an dernier...

  Cette fois je parle de la musique parce que comme dans Brendan, elle est de Bruno Coulais (ainsi que d'un groupe dont j'ai zappé le nom mais qui a écrit les chansons en gaélique), or, j'aime beaucoup Bruno Coulais, d'ailleurs c'est assez amusant, mais, dans cette BO, on retrouve un peu de Océan (ce qui est assez logique) mais, j'ai aussi eu des pensée pour Les Choristes par moments. Et puis, je suis une grosse sensible, mais, j'avoue que la musique (sans doute avec la conjugaison des images) m’a fait pleurer en plein générique d'ouverture, donc, ou bien j'étais hyper fatiguée et donc 10 fois trop réceptive, ou bien, c'est excellent !

  Maintenant : mon avis : Allez le voir !!
  Ça serait vraiment bête de se priver !

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